mardi 1 juillet 2008

Téléscopie d'un mégalo-paranoïaque et d'un fasciste ordinaire


lundi 23 juin 2008

Centre de rétention de Vincennes : le Guantanamo français



Et pendant ce temps, les socialistes français, en dignes héritiers de Léon Blum, se gardent bien d'intervenir. Le CRA de Vincennes rappelle fâcheusement le centre de rétention d'Argelès où furent entassés les réfugiés de la guerre d'Espagne. C'était juste avant Vichy, c'était hier, c'était demain.
Quant au quotidien "Le Monde", il retourne à ses origines : celles du très
collaborationniste quotidien "Le Temps".

Voir aussi le communiqué de presse du RESF.

vendredi 11 avril 2008

UMP : on achève bien les sénateurs...

On lira avec intérêt la correspondance, interne à l'UMP, adressée par le sénateur de la Manche Jean-François Le Grand au président du groupe UMP au sénat Henri de Raincourt. J.F Le Grand se réclame du gaullisme et, de même que son mentor avait une certaine idée de la France, lui-même a une certaine idée de la politique, laquelle s'accommode assez mal du marigot présidentiel où triomphe la vulgarité.


jeudi 3 avril 2008

mercredi 26 mars 2008

Sarkozy's circus

5 cm pour monsieur, talons plats pour madame...qui a dit qu'il était petit ?

Plus grave, tu meurs !

samedi 22 mars 2008

Rentrée du conseil général des Hauts-de-Seine


Jean Sarkozy, dit "poignard volant", a fait ses débuts de conseiller général. Il a intégré sa chambrée et installé ses petites affaires.
A cette occasion, nous sommes heureux de vous présenter le poster favori du p'tit Jeannot...le fils de papa.

La première dame du Royaume de France, épouse en troisième noce du chanoine d'honneur de Saint-Jean de Latran, vous souhaite une...

lundi 17 mars 2008

jeudi 13 mars 2008

Rachida Dati, ministre de la justice, viole la loi

Cliquez sur le titre pour visionner la vidéo.

mercredi 12 mars 2008

...comme papa

Je suis neuilléen...

A Neuilly sur/Seine, Jean Sarkozy a fait ses débuts en ligue 2, à l'occasion d'un derby local. Devant la nette domination de ses adversaires, il a déclaré à la mi-temps à ses supporters (voir la vidéo "Jean Sarkozy entre en opposition") qu'il ne comprenait pas la nécessité de perdre (histoire de feeling) et, après avoir donné un coup de boule à son capitaine, il a décidé de rejoindre l'équipe adverse pour la seconde mi-temps. Il aurait même déclaré qu'il n'en avait rien à cirer de ce que pensait "papa" (son entraîneur). Un certain malaise règnait dans les tribunes. Quant au capitaine agressé, il a été transféré à l'infirmerie, après avoir écopé d'un carton rouge et serait menacé de suspension jusqu'à la fin de la saison.
A suivre...

mercredi 5 mars 2008

"L'affreuse aventure" ou "l'esprit de 68"


Dans la bouche de
Pétain, "l'affreuse aventure" désignait, bien sûr, le Front Populaire et les grèves de 1936. C'est à dire "la chienlit" de l'époque. Pour quoi le mot d'ordre "plutôt Hitler que le front populaire", brandi par les ligues fascistes. Il n'est pas excessif de dire que Pétain prépara la débâcle, puisqu'il fut le seul ministre des armées de l'entre-deux guerres à proposer une baisse notable des crédits militaires et ce après l'arrivée au pouvoir de Hitler et le réarmement de l'Allemagne.
La révolution conservatrice menée par Sarkozy consiste à opposer "la France qui se lève tôt" pour travailler dur à l'armée des profiteurs de minima sociaux et des fraudeurs. Pétain parlait lui "des paysans et des ouvriers qui assument avec noblesse leurs souffrances", opposés à ceux qui revendiquent des augmentations de salaire et des congés payés. En 1968, les salaires les plus bas de France étaient ceux des vendeuses de la Samaritaine: 500 ff par mois ! "L'esprit de 68" désigne, entre autres choses, cette pure folie selon laquelle les fruits de la croissance économique devraient profiter à tous, à commencer par les plus pauvres. Le libéral-fascisme de Sarkozy c'est, pour les plus riches, le bouclier fiscal et, pour les plus pauvres, les franchises médicales.

mardi 4 mars 2008

Sans-papiers = juifs étrangers

Collectif du 29 mai
Shoah : pour la police aussi, il faut un devoir de mémoire.

Rafles : les charters de la mort

Une enquête de RUE89, cliquez sur le titre.

samedi 1 mars 2008

Rétroactivité de la loi


Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen de 1789 :
Article 8
- La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne
peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.

Code civil
:
Article 2 - La loi ne dispose que pour l'avenir ; elle n'a point d'effet rétroactif.

Depuis 1789, il n'y a qu'un seul précédent de remise en cause de ce principe :

Le 21 août 1941, un jeune militant communiste, Pierre Georges (Colonel Fabien) tue l’aspirant de marine Moser, station Barbès, dans le métro parisien. Les occupants allemands pressent les Français d’agir, ils veulent la tête de six personnes. Aussi Pierre Pucheu, ministre de l’Intérieur, et Joseph Barthélémy, ministre de la Justice, mettent en place une tribunal spécialisé. Le texte est rédigé le 22 août, mais pour sauver les apparences, la loi est datée du 14 août 1941. Cette loi est publiée dans le Journal officiel du 23 août. Par ce texte, l’État français (Régime de Vichy) institue une section spéciale auprès des tribunaux militaires en zone dite libre et auprès des Cours d’appel en zone occupée. Ces sections spéciales sont spécialement chargées de réprimer les activités communistes et anarchistes (article 1), elles jugent en dernière instance, aucun recours n’est possible (article 7).
La section spéciale est un tribunal d’exception, dont l’activité viole plusieurs règles de droit : absence d'énonciation des motifs, aucun recours ni pourvoi, rétroactivité (la loi réprime même les activités antérieures à sa promulgation).



Cléricalisme

Pétain déclare le 25 juin 1940 :

« [...] L'esprit de jouissance a détruit ce que l'esprit de sacrifice a édifié. C'est à un redressement intellectuel et moral que je vous convie. Convaincu que l'Église peut aider au redressement moral qu'il envisage, le chef de l'État est bien disposé à accueillir toutes les demandes qu'elle lui présentera [...]. »

Les premières demandes concerneront les congrégations et l'école.

à suivre...